“… Il (Ferdinand Bouchar) avait commencé à faire ces relevés et à publier des revues au Centre d’Etudes Généalogiques du Douaisis (CEGD) avec Thérèse Marie Blervaque-Loubert qui elle aussi nous a quittés, pendant le confinement. Elle aussi était un pilier de la mémoire à Flines. Et tous deux avaient été membres de l’ARPE, la société d’histoire locale qui a précédé FFH. Ils avaient toujours été d’une aide précieuse pour concevoir les expositions, les revues sur l’histoire de Flines…”
(Extrait de l’ Hommage à Ferdinand Bouchar,
Flines au Fil de son Histoire (FFH) et l’Académie du patois d’Flennes,
avec l’aide de Jean-Paul Carpentier, son collègue pendant 24 ans)
ET
n’oublions pas que si notre Présidente nous concocte de si beaux textes, nous le devons en partie à Thérèse-Marie, l’institutrice qui lui a appris à lire et écrire!