COVID 19: REFLEXIONS

A diffuser sans modération.
Ces deux articles, quand je suis tombé dessus, m’ont “interpellé”. J’ai cru de mon devoir de vous en soumettre la “substantifique moëlle” dans les extraits que voici:
Covid 19: les Français rebelles, jusqu’à quand?”
Par Eric CHOL  (L’Express, 1er Octobre 2020)

“Sur une photo publiée par un journal de Tokyo, on voit de jeunes écoliers s’entraîner à la course à pied munis de bâtons en mousse longs de  2 mètres pour marquer la distanciation physique. Ils sont fous, ces Japonais! Vraiment? Japon: 126 millions d’habitants , 1548 morts du Covid 19. Et le rebond de l’épidémie, au milieu de l’été, a déjà été endigué….”

 

Face au coronavirus, une exception japonaise intransmissible
Par Philippe Pons et Philippe Mesmer (Le Monde, 22 Juin 2020)

Le meilleur bilan du Japon dans la lutte contre la pandémie tient plus à des mœurs locales, d’hygiène et de civilité, qu’à la politique gouvernementale.

“…le Japon fait figure d’exception parmi les pays membres du G7 avec plus de 18 000 contaminations et 971 morts, soit 7 décès par million d’habitants (400 pour un million en France). [au 22 Juin 2020] Un bilan d’autant plus remarquable que les mesures prises au cours des sept semaines d’état d’urgence n’ont été ni coercitives (selon la loi, le gouvernement ne peut restreindre la liberté de mouvement de la population) ni intrusives (traçage des personnes ayant été en contact avec des porteurs du virus) alors que l’archipel est a priori vulnérable en raison de la proportion élevée des personnes âgées, de mégalopoles surpeuplées et de transports urbains surchargés…”

 

UN DES PILIERS DE FFH, FERDINAND…

… nous a quittés. Cliquez sur la vignette pour l'obtenir en pleine page

“…Rien qu’à Flines plus de 54.000 naissances, décès et mariages étalés sur quatre siècles avaient ainsi été recensés. Alain Marmousez se souvient du regard de Ferdinand lorsque quelqu’un venait leur dire « Bonjour » à la mairie et leur disait : «Vous n’avez pas encore fini ? ».  Et bien non ! Il n’avait pas fini. Il avait commencé à faire ces relevés et à publier des revues au Centre d’Etudes Généalogiques du Douaisis (CEGD) avec Thérèse Marie Blervaque-Loubert qui elle aussi nous a quittés, pendant le confinement. Elle aussi était un pilier de la mémoire à Flines. Et tous deux avaient été membres de l’ARPE, la société d’histoire locale qui a précédé FFH. Ils avaient toujours été d’une aide précieuse pour concevoir les expositions, les revues sur l’histoire de Flines…”

(Extrait de l’ Hommage à Ferdinand Bouchar), (que vous trouverez dans son intégralité dans la rubrique L’Académie d’ Flennes)

Flines au Fil de son Histoire (FFH) et l’Académie du patois d’Flennes

(avec l’aide de Jean-Paul Carpentier, son collègue pendant 24 ans)

 

 

Nécrologie

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“… Il (Ferdinand Bouchar) avait commencé à faire ces relevés et à publier des revues au Centre d’Etudes Généalogiques du Douaisis (CEGD) avec Thérèse Marie Blervaque-Loubert qui elle aussi nous a quittés, pendant le confinement. Elle aussi était un pilier de la mémoire à Flines. Et tous deux avaient été membres de l’ARPE, la société d’histoire locale qui a précédé FFH. Ils avaient toujours été d’une aide précieuse pour concevoir les expositions, les revues sur l’histoire de Flines…”

(Extrait de l’ Hommage à Ferdinand Bouchar,

Flines au Fil de son Histoire (FFH) et l’Académie du patois d’Flennes,

avec l’aide de Jean-Paul Carpentier, son collègue pendant 24 ans)

ET

n’oublions pas que si notre Présidente nous concocte de si beaux textes, nous le devons en partie à Thérèse-Marie, l’institutrice qui lui a appris à lire et écrire!